OLF : 2020 courir et revenir !!!

Tu est un peu dur avec toi
Bien sur on peut pas se plaindre tout le temps mais les bobos font parties de notre sport et suivant la gravité pèse sur nos progrès
La sortie d aujourd'hui donne confiance pour dimanche prochain

Oublie pas trop le repos

Si le corps ne suit pas et que les petits pépins s'accumulent c'est plus du repos qu'il faut que de la "remise au travail" comme tu dis non ?

Disons qu'il y a un sujet finalement peu abordé sur le forum. Celui de l'impact de notre quotidien, sur notre performance.
Sans rentré dans le détail de ma vie je me demande si mes petits bobos actuels et surtout mes performances ne sont pas impactés par des éléments extérieures à la cap. Ce qui suit n'est pas pour parler de moi, mais pour engager un débat sur ce sujet.
Je viens de vivre professionnellement 2 plans sociaux consécutif (un mi 2015 et le un fin 2016) avec toutes les tensions, ambiance... que cela implique. Malgré un bon mental, je crois, je me demande si une certaine forme de fatigue psychologique ne se serait pas installé et ce qui m'arrive en cap, plus ou moins une conséquence. Je me rends compte qu'il est beaucoup plus "facile" de s'entrainer dur lorsque "tout va bien". Je n'avais pas l'impression d'être impacté pourtant, mais peut être que ça a un impact indirect (plus facilement malade, plus fragile). Peut être que c'est plus difficile en cap de taper dedans car sans s'en apercevoir on part psychologiquement pas de 0.
Quoiqu'il en soit, j'ai décidé de me reprendre fort en main, même si comme je le disais, je n'avais pas le sentiment d'être atteint. Pourtant les résultats parlent ...
De vos expériences perso, quels sont vos avis sur l'impact des éléments "négatifs" extérieurs ? Comment mieux les gérer, idéalement les neutraliser;

Moi aussi j'ai eu du mal à accepter que certains éléments pouvaient être néfaste mais après réflexion il est clair que ça compte
Perso je suis sous un système de travail 6 nuits 5 jours ( 200 h par mois ) ce qui donne 4h de sommeil par tranche de 24 h en semaines de nuit ( et en 2 fois ) et comme je cours en rentrant tout les médecins et autre paramédical m'ont confirmer que mes petits bobos ainsi que le temps qu'ils faut pour qu'ils partent n est pas étranger au manque de repos qui est obligatoire pour que le corps " cicatrise "
Le mental peut bien sur cacher un peu mais la réalité revient comme un boomerang
En conclusion il ne faut pas trop s écouter mais un peu de temps en temps

Je viens d'aller voir mon n° de dossard pour la TCN de dimanche prochain, le profil du parcours est enfin affiché, 29kms pour 1400d+ ça va piquer

Je suis un peu dans le même cas concernant les à-côtés de la cap (plan social collectif) et forcément ça joue, même si on ne le pense pas Me concernant, étant toujours à la recherche de mes capacités totales en cap, j'ai un peu de mal à dire dans quelles proportions cet événement intervient. Ce qui est sûr, c'est que rechercher un emploi n'est pas de tout repos, mais alors pas du tout, c'est même le contraire, et la fatigue est belle et bien présente, ça c'est indéniable.

Bonne semaine de relâche en tous cas, en espérant que ton souci au talon ne soit plus qu'un mauvais souvenir dans 7 jours